Les contradictions du projet

LES CONTRADICTIONS DE CE PROJET NON REFLECHI ET NON ABOUTI! :

  • Ce projet ne dessert que les intérêts privés d’une banque qui a déjà dénaturé Bellevue
  • Il permet à la CGN d’engendrer 1mio de francs par an sans déficit!
  • Il est facile pour les 12 communes de signer une convention de financement alors qu’elles ne seront pas impactées par les problèmes engendrés par ce projet tant au niveau de la mobilité terrestre que lacustre.
  • Les horaires de la traversée correspondent aux horaires des pendulaires et ne permettent pas la traversée à un autre moment de la journée, ni le week-end.
  • La CGN vend la Voie Bleue comme un projet sans voiture mais leur étude de faisabilité annonce un potentiel de 2'300 utilisateurs par jour d’ici 2030 avec tous les pendulaires et frontaliers.
  • Le sans voiture est utopique vu que Corsier-Port est éloigné du plus grand bassin de population genevois.
  • Les statistiques cantonales montrent que 40% de la population se déplace en voiture, il faudrait un parking de 300 places. Il n'existe aucune possibilité de se garer à Corsier-port autrement que par du parking sauvage. Il y a qu'un chemin d’accès au quai en entonnoir avec des chicanes d’évitement qui ne permettent pas aux véhicules de se croiser, pas de possibilité de faire de la dépose minute ni de return.
  • La distance de Bellevue à Corsier est la plus grande, soit 4,4 km, comparé aux autres débarcadères, ce qui augmente la consommation de Diesel de 59%.
  • Corsier-port est un lieu de baignade et d’activités nautiques avec un club d’hobby cat qui sort ses bateaux tous les jours en fin de journée, les avirons qui rament sur cette trajectoire, les pêcheurs, les paddles et les bateaux moteurs. Comment cette traversée pourrait-elle ne pas engendrer des situations dangereuses?
  • Une seule ligne de bus dessert Corsier-port et il n’y a pas de pistes cyclables tout le long de la route d’Hermance, route à grand trafic et dangereuse en vélo.
  • Il n'existe pas de connectivité avec le réseau ferroviaire, Corsier est éloigné du réseau du Léman express et il n'y a pas de voie verte à proximité.
  • La CGN vend un projet zéro émission alors que le bateau qui va faire cette traversée est « le Valais » et consommera 65’000 litres de diesel par an!
  • Le bateau passera sur le site palafittique de Corsier-port inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce qui risque de l’endommager voire de le faire disparaitre, les archéologues exigent que la navette ne passe pas sur le site ce qui impose une manoeuvre compliquée de rebroussement!
  • Il s'agit d'une traversée onéreuse qui ne fait pas partie d’UNIRESO